Echauffement

En extérieur le vent naturel est le moteur. Un bon pilote qui sait bien garder la pression n’aura pas besoin de trop bouger. En salle le moteur c’est le pilote. Il est en constant déplacement. C’est sportif donc il faut s’échauffer.

Les jambes

Le moteur principal du cerf-volant est les jambes du pilote. Le mouvement en marche arrière n’est pas naturel et n’utilise pas les même muscles que lors d’une marche classique. Le pilote doit échauffer ses jambes pour ce besoin particulier.

Quelques pas en marche arrière de façon soutenue ainsi que des pas de côté permettront de préparer les muscles et articulations du pied.

Ne pas négliger cette étape surtout pour les débutants qui vont carrément courir à reculons. Avec l’expérience le pilote maîtrisera son effort et la pression dans la voile réduisant ainsi son engagement physique. Néanmoins lors d’un décrochage le pilote va rattraper en accélérant alors gare au claquage…

Les bras

Les mouvements des bras vont permettre de réduire ou ajouter brusquement et momentanément de la pression. Il est aussi important de les échauffer.

Le haut du corps

Un peu moins sollicité mais parfois utile pour ajuster légèrement et momentanément la pression. Il faut effectuer des mouvement de la colonne vertébrale et du bassin.

Les mains

En 2 lignes, les mains ne sont pas sollicitées. En 4 lignes on va utiliser les poignées ainsi que la tension des doigts non pas pour comprimer les poignées mais pour sentir les moindres changement de pression. En fait doigts et poignées vont êtres mis à contribution. Il faut donc également échauffer ces parties.

 

Attention échauffement ne dit pas épuisement, garder un peu d’énergie pour le vol

 

Prochaine étape le 360.